Merci Mesdames : Portrait de Margaret Hamilton

Merci Mesdames : Portrait de Margaret Hamilton.

À travers cette série d’articles « Merci Mesdames” nous avons décidé de mettre en avant les femmes qui ont révolutionné le monde du numérique et qui pourtant sont restées dans l’ombre pendant pas mal d’années. Encore aujourd’hui peu de gens les connaissent alors que ce qu’elles ont réalisé est juste incroyable. 

   Salma El Bassahi – 4 min de lecture

 

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Margaret Hamilton

Photo : France Culture 

Pour ce premier article nous avons décidé de mettre en avant cette femme sans qui l’homme n’aurait jamais pu marcher sur la lune : Margaret Hamilton.

1960, à cette époque, l’Amérique conservatrice règne. Madame Hamilton beigne en plein milieu d’une société remplie de règles bien fondées : la place de la femme est à la maison à élever ses enfants et celle de l’homme au travail. Mais ça ne l’a pas empêché d’intégrer le MIT (Instrumentation Laboratory). Malgré le fait qu’il y avait une prédominance masculine et que les préjugés à son égard étaient présents, Margaret n’a pas lâché son poste. Talentueuse et passionnée, elle a réussi à accomplir ses missions avec succès. D’ailleurs son talent n’est pas passé inaperçu puisque rapidement elle a été repérée par la Nasa et embauchée sur le projet Apollo 11. 

En 1968, l’Amérique se bat contre l’URSS pour savoir laquelle de ses deux grandes puissances fera marcher le premier homme sur la lune. 400 personnes sont réquisitionnées alors par la Nasa sur le projet Apollo et parmi ces 400 personnes figure Margaret Hamilton. Passionnée par son métier et par les chiffres, elle se met à programmer alors jour et nuit, weekend et semaine sans compter ses heures. Elle arrive alors à créer un programme parfait qui corrige en temps et en heure les différentes erreurs et qui pourrait répondre aux turbulences. Son programme a alors permis d’éviter de nombreux crash et c’est ainsi que Neil a pu poser le premier pas sur la lune. 

Malgré son travail exceptionnel, Margaret n’a eu sa véritable reconnaissance que de nombreuses années après, c’est qu’en 2016 qu’elle reçoit par Barack Obama lui remet la presidential medal of Freedom. Aujourd’hui son nom est encore trop méconnu pour son incroyable réalisation. Son talent a été étouffé par les préjugés et les codes de la société. A l’époque sa place était dans l’ombre. 

Son programme a eu une influence considérable dans le milieu du numérique. Effectivement, c’était le début d’une grande révolution. C’est elle qui a déterminé les bases de l’informatique telles que nous les connaissons aujourd’hui. Margaret Hamilton mérite plus que jamais sa place dans les livres d’histoire et dans la mémoire de chacun. 

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Les enfants apprennent à coder en s’amusant

POP School se diversifie et opte pour des ateliers ludiques adaptés à des élèves de l’école élémentaire de Lucie Aubrac de Croix (59). Mardi 9 mai, ils ont pu donner des instructions à un mBot (robot éducatif), pour eux, c’était un premier pas dans le domaine informatique.

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Que sont ils devenus ? Après une formation de 4 mois, j’ai signé un contrat en CDI.

Que sont ils devenus ? Après une formation de 4 mois, j’ai signé un contrat en CDI.

Lucien a intégré la promotion 7 développeur web de la fabrique de Lens. Dès la sortie de la formation et son titre pro validé, il signe un CDI.

   Salma – 2 min de lecture

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Lucien

Photo : POP School Télétravail

POP School : Qui es-tu ? 

 

Lucien :  Je m’appelle Lucien, j’ai 24 ans et je viens de Billy Montigny, une commune de la Communauté d’Agglomération Lens Liévin. Je suis passionné par les technologies, l’astronomie et les sciences de façon générale. J’ai fait l’acquisition d’un caméscope et j’adore observer la lune et les étoiles, même si avec le temps grisâtre du nord c’est parfois compliqué.

 

POP School : D’où viens-tu ? 

 

Lucien :  Après avoir obtenu mon BAC Scientifique, j’ai intégré un DUT Mesure Physique que j’ai obtenu. Quand j’ai voulu m’insérer dans le monde du travail, toutes les entreprises demandaient deux à trois ans d’expériences minimum. De ce fait, j’ai dû bosser en tant qu’imprimeur. Ça ne me plaisait pas forcément mais au moins j’avais une stabilité puisque j’étais en CDI. 

Un jour, un ami m’a parlé de POP School et de la formation de développeur web. J’ai pu voir quelques projets qu’il avait effectué et ça m’a vraiment plus. Après un long moment d’hésitation j’ai démissionné de mon poste d’imprimeur et je me suis inscrit à la formation  de  POP School. 

POP School : Comment était la formation ?

 

Lucien : Ma formation est tombée pendant le 1er confinement. C’était un peu compliqué mais ça c’est super bien passé dans l’ensemble. J’ai pu mener de nombreux  mini-projets tels que la construction d’un site, d’une to do list, d’une application météo. Tous ces projets m’ont permis de remplir mon portfolio et d’avoir une base solide. Dans la formation on apprend différents langages tels que HTML, CSS et JS qui sont des bases primordiales à avoir et d’autres langages plus poussés. Lorsque tu fais une formation intensive de ce type, il est important de faire de la veille et de bosser chez soi. Dans l’ensemble, je trouve que la formation est vraiment adaptée au monde du travail. Ce qu’on nous apprend c’est du concret. 

 

 POP School : Quel est ton poste aujourd’hui  ? 

 

Lucien :  À la fin de la formation, j’ai décroché un en CDI chez GOWEB à Roubaix. Je suis développeur web fullstack mais je fais beaucoup plus de front. On me fait confiance et je suis sur de nombreux projets. Ce qui est cool c’est que je suis sur des projets

 

POP School : Qu’est ce qu’on peut te souhaiter ? 

 

Lucien : De vite trouver un appartement !

 

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Webinar 8 mars : Comment améliorer les inégalités de genre dans la filière du numérique ? ​

POP School te donne rendez-vous le 8 mars à 14h pour un webinar. Avec Maleka Dilmi du corif, viens comprendre comment lutter contre les stéréotypes de genre de la filière du numérique.

Webinar 8 mars : Comment améliorer les inégalités de genre dans la filière du numérique ?

Dans le cadre de la journée internationale des droits des femmes, rejoins nous le 8 mars à 14h00 pour échanger avec Maleka Dilmi du CORIF sur les stérotypes de genre dans la filière du numérique. #Casserlescodes !

   Baptiste Dufour – 1 min de lecture

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Webinar POP School

Visuel #casserlescodes

La mixité et l’égalité des chances dans le secteur du numérique est un principe que nous revendiquons et souhaitons booster pour casser les codes de la filière ! En 2021, POP School prend des mesures et des engagements pour que l’accès des femmes aux opportunités de la filière du numérique soit une réalité.

Pour ce webinar, venez interagir avec Maleka Dilmi du Corif le 

Lundi 8 mars à 14h00

 

Comment casser les codes et améliorer les inégalités de genre dans la filière du numérique ? Ce sont les questions auxquelles nous tenterons de répondre.

On vous attend nombreuses et nombreux ! Inscription obligatoire. 

 

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POP School s’engage contre les inégalités de genre dans la filière du numérique

POP School s’engage à intégrer plus de femmes dans ses parcours de formation pour qu’elles soient propulsées dès demain dans le secteur.

POP School s'engage contre les inégalités de genre dans la filière du numérique

Le saviez-vous ? Les femmes étaient plus présentes dans le numérique pendant les année 80 qu’aujourd’hui. Notre souhait : intégrer plus de femmes dans nos parcours de formation au numérique pour qu’elles soient propulsées dès demain dans le secteur. C’est pourquoi POP School s’engage à favoriser l’insertion des femmes dans ce milieu. 

   Baptiste Dufour – 2 min de lecture

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Engagement POP School

Visuel Casser les codes POP School 2021.

Chez POP School, la mixité et l’égalité des chances dans le secteur du numérique est un principe que nous revendiquons et souhaitons booster pour casser les codes de la filière !

En 2021, nous prenons des mesures et des engagements pour que l’accès des femmes aux opportunités de la filière du numérique soit une réalité. Notre souhait : intégrer plus de femmes dans nos parcours de formation pour qu’elles soient propulsées dès demain dans le secteur. 

Constat de la filière 

 
  • Le secteur du numérique se compose de moins de 30% de femmes.
  • Elles ne sont plus que 10% sur des postes techniques.

Notre plan d’actions : 

 
  • Rendre notre communication plus inclusive pour que toutes et tous puissent se projeter dans le numérique.
  • Organiser des événements et des temps forts pour démystifier le numérique.
  • Inclure dans nos formations longues des journées dédiées à la lutte contre les violences sexistes et sexuelles et à la mixité femmes-hommes.
  • Initier une démarche collective dans l’entreprise et créer un groupe de travail.
  • Élaborer une charte visant à promouvoir la mixité femmes-hommes et lutter contre les violences sexistes et sexuelles.
  • Renforcer la sensibilisation et la formation des collaborateurs
  • Accueillir plus de femmes dans nos formations aux métiers du numérique. 

Retrouvez nos temps forts 2021 : #Casserlescodes ! 

 
  • Nous organisons dès aujourd’hui et sur toute l’année plusieurs temps forts avec des femmes de la filière du numérique pour sensibiliser l’ensemble des acteurs de la formation.
  • Nous préparons une série de podcasts dans le but de « normaliser » les femmes dans le secteur du numérique et de prouver qu’elles ont bel et bien leur place.

Pierre Verlyck, Directeur général de POP School annonce les engagements « mixité femmes-hommes ».

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Les enfants apprennent à coder en s’amusant

POP School se diversifie et opte pour des ateliers ludiques adaptés à des élèves de l’école élémentaire de Lucie Aubrac de Croix (59). Mardi 9 mai, ils ont pu donner des instructions à un mBot (robot éducatif), pour eux, c’était un premier pas dans le domaine informatique.

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Tournée des fabriques

Découvre les différentes fabriques POP School. Celle de Lens te propose une formation pour devenir référent numérique et une formation pour faire le métier de développeur web.

la tournée des fabriques

Prends ton sac à dos, de quoi noter, ton masque et ton gel hydroalcoolique. On s’en va ensemble faire un tour des fabriques. Destination n°1 : Lens.

Salma
Salma

2 min de lecture

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fabrique-de-lens

Comme vous le savez chez POP School nous avons différentes fabriques. Nous sommes situés un peu partout dans les Hauts-de-France en plus de nos deux implantations à Paris et Saint-Quentin-en-Yvelines. Nos fabriques sont toutes uniques et proposent des formations différentes.  Afin de vous faire découvrir leurs différences, nous vous emmenons les visiter. Aujourd’hui nous partons à  Lens

  1. La fabrique numérique, au coeur du Louvre Lens Vallée

POP School se situe au Louvre Lens Vallée. Un endroit atypique et inspirant qui favorise plus que jamais l’échange, le partage et l’évolution numérique. C’est pour toutes ses raisons que POP School en a fait sa fabrique. Il dispose d’un atrium, d’un espace restauration et surtout de plus d’une centaine de canapé

Louvre Lens Vallée
  1. Les formations de la fabrique de Lens

A Lens, deux formations sont proposées : Développeur web et Référent numérique. En quelques mots, la formation de référent numérique va te former à devenir le couteau suisse du numérique : réseaux sociaux, site web, communication print, maintenance d’un système informatique… tous ces outils n’auront plus aucun secret pour toi. D’ailleurs si ça t’intéresse on t’invite à lire le programme de formation.

 Et la formation de développeur web, elle, va te former à, comme son nom l’indique, développer une application mobile et un site web en les personnalisant entièrement. Cela va passer par la mise en pratique de différents langages informatiques . Voici le programme de formation

  1. Une semaine type à Lens ça donne quoi ?  

Définir une semaine type chez POP School c’est très compliqué. Car les semaines ne se ressemblent jamais et la dynamique peut être totalement différente d’un groupe à un autre. Mais généralement en une semaine de temps, tu as 2 jours de théorie et 3 jours de pratique. Durant ces projets tu iras à la rencontre de start-up et de petites entreprises avec lesquelles tu pourras échanger afin de leurs proposer de véritable plans d’action.. Chez POP School, on profite des connaissances du groupe ; c’est l’apprentissage “peer to peer”.
L’échange étant primordial pour nous, nous organisons tout au long de votre formation des  événements “after work” et “petit déj”.

3.  Une semaine type à Lens ça donne quoi ?  

Définir une semaine type chez POP School c’est très compliqué. Car les semaines ne se ressemblent jamais et la dynamique peut être totalement différente d’un groupe à un autre. Mais généralement en une semaine de temps, tu as 2 jours de théorie et 3 jours de pratique. Durant ces projets tu iras à la rencontre de start-up et de petites entreprises avec lesquelles tu pourras échanger afin de leurs proposer de véritable plans d’action.. Chez POP School, on profite des connaissances du groupe ; c’est l’apprentissage “peer to peer”.
L’échange étant primordial pour nous, nous organisons tout au long de votre formation des  événements “after work” et “petit déj”.

Lorsque tu fais POP School on t’accompagne pendant et après la formation selon tes besoins !

4.  On repart ? On repart ? On repart ? 

Nous espérons que ce petit arrêt à Lens t’as fait plaisir. A oui nous avons oublié de te dire que le Louvre Lens Vallée est très bien desservi et situé. En termes de restauration il y en a pour tous les goûts et à porté de main. 

“En voiture Simone!” nous avons encore du chemin et bien d’autres Fabriques à découvrir. Et si t’es dans le cas ou tu veux rester à Lens, on t’invite donc à inscrire ton prénom juste ici. Anthony sera ravi de l’accueillir 😎.

Good Bye Lens 👋

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Les enfants apprennent à coder en s’amusant

POP School se diversifie et opte pour des ateliers ludiques adaptés à des élèves de l’école élémentaire de Lucie Aubrac de Croix (59). Mardi 9 mai, ils ont pu donner des instructions à un mBot (robot éducatif), pour eux, c’était un premier pas dans le domaine informatique.

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Mon métier de Hacker !

Découvre le métier de Hacker éthique et toi aussi comme Bertrand, intègre la formation POP School

Mon métier d'Hacker - Interview Masquée

Ils et elles sont de plus en plus nombreux.ses à avoir un métier dans la cybersécurité et quand ils en parlent, on se croirait dans Matrix. Pourtant, ce sont des personnes comme vous et moi. 

Pour lire cet article en condition, je vous propose de créer autour de vous une ambiance tamisée, de passer votre ordinateur en contraste noire et de mettre les textes en couleur verte.

   Baptiste Dufour – 3 min de lecture

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photo d'un apprenant dans une fabrique de pop school

Crédit Photo : Photo by Sigmund on Unsplash

Les dernières enquêtes publiées font toutes le même constat : le nombre de cyberattaques continuent d’exploser. Plus de 90% des organisations françaises ont ainsi subi au moins une cyberattaque majeure au cours des 12 derniers mois et une majorité d’entre elles ont signalé des incidents multiples. 

Pourquoi ? Depuis le premier confinement et la généralisation du télétravail, la protection des systèmes d’information des organisations n’est pas forcément au rendez-vous (faute de temps et de moyens) et les salariés ouvrent des portes dangereuses sans même le savoir. Pour lutter contre les attaques, nous avons besoin de nombreuses compétences dans le domaine de la cybersécurité. Ça tombe bien, il existe de plus en plus de formations à la cybersécurité en France. Interview masquée.

PS : Bonjour, pour des raisons qui t’appartiennent tu as demandé qu’on ne dévoile pas ton identité. C’est pourquoi on met une cagoule pendant cette interview et qu’on t’appelera Bernard. Bernard, peux-tu présenter ton métier ? 

Bernard : Depuis quelques mois maintenant, je suis Risk Manager en cybersécurité. Mon poste consiste à faire de l’audit de sécurité pour tout type d’entreprise. Concrètement, j’audite les systèmes d’information des boîtes, j’analyse leurs process, j’identifie des valeurs métiers, c’est-à-dire que je note les métiers des collaborateurs pour positionner le risque et voir d’où peut venir la menace. Mon objectif, c’est d’étudier les chemins d’attaques possibles et faire des recommandations. Mon métier c’est hacker même si je ne fais pas de Pentest (test d’intrusion) car ce n’est pas l’attaque la plus commune aujourd’hui. 

PS : Justement, quelles sont les attaques les plus fréquentes aujourd’hui ? 

B: La principale attaque qu’on observe aujourd’hui, c’est le Ransomware (Rançongiciel en français). C’est un programme malveillant dont le but est d’obtenir de la victime le paiement d’une rançon. Nous sommes tous concerné par ce type d’attaque ; les cybercriminels s’attaquent aux particuliers mais ils s’attaquent aussi à des organisations ayant des moyens financiers. La seule chose à faire pour réduire les risques d’attaque, c’est de renforcer les systèmes de sécurité. 

Le second risque pour les entreprises, c’est la fuite de données. Pour accéder aux données, les cyber hackers profitent des faiblesses des SI et passent simplement par des entrées simples : les adresses mails des salariés avec des mots de passe communs ou encore lorsqu’on se connecte à des réseaux Wifi ouverts.

PS : Qu’est ce que tu préfères dans ton job ? 

B : Ce que je trouve intéressant, c’est d’analyser les Systèmes d’Information des structures et apporter des recommandations concrètes. 

PS : Quel est ton quotidien ? 

B : Mon quotidien c’est évidemment du temps devant mon PC mais aussi beaucoup de rédaction. On imagine toujours la partie “obscure” du métier lorsqu’on parle des métiers de la cyber, c’est-à-dire la personne assise derrière son PC à essayer de pénétrer dans des structures avec des lignes de code, mais la réalité est différente.

La rédaction prend une place importante dans ma journée. Lorsqu’on est Risk Manager, on écrit pratiquement à chaque étape : lorsqu’on audite, lorsqu’on fait des recommandations et lorsqu’on écrit les process pour aboutir à des livrables.

Après, il y a beaucoup de recherche et de lecture en français comme en anglais car il y a des nouvelles réglementations à connaître et de nouvelles façons de hacker qui apparaissent régulièrement. 

PS : Quel est ton niveau scolaire ? 

B : J’ai appris par moi même, je n’ai pas fait d’étude supérieure pour arriver à ce poste. J’ai passé la certification CEH avec POP School et je suis arrivé à ce poste juste après. Il y a un réel besoin aujourd’hui dans le monde de la cyber. 

Infos : d’ici 2022, 350 000 postes seraient non pourvus dans la cybersécurité en Europe. Formez-vous !

PS : Est-ce qu’il t’arrive parfois de hacker tes voisins car ils font trop de bruit ou que la musique est trop forte ? 

B : Jamais ! 

PS : Lève-moi un doute, ton bureau ce n’est pas une camionnette comme dans mission impossible ? 

B : Heureusement non !

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Les enfants apprennent à coder en s’amusant

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Se faire financer sa formation numérique

Comment faire une formation gratuite chez POP School. En recherche d’emploi, décrocher scolaire ou encore en reconversion professionnel, voici les aides auxquels tu as le droit.

Faire financer sa formation numérique jusqu'à 100%

Tu souhaites suivre une formation dans le numérique ? Repère les aides mobilisables pour financer jusqu’à 100% du prix de ta formation. 

   Baptiste Dufour – 5 min de lecture

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Crédit photo : POP School 2021

Notre équipe appelle ça la Jungle. La jungle car on a remarqué que nos apprenants étaient souvent perdus dans les dispositifs qui permettent de financer leur formation. Oui, se former à un prix. Mais rassure toi, il existe bel et bien des dispositifs pour financer jusqu’à 100% de sa formation. Pour t’aider à explorer les dispositifs existants et savoir quel financement il est possible de mobiliser selon son profil on a tout synthétisé en un article ; “simple”.  

Financer sa formation avec son CPF 

 

Le premier financement qu’on peut te présenter est le CPF car nous avons tous un. Le Compte Personnel de Formation permet d’acquérir des droits à la formation mobilisables tout au long de sa vie professionnelle. Il s’adresse à tous les actifs. 
L’objectif de ce financement est d’augmenter les compétences des actifs, de lutter contre l’obsolescence des compétences et leur permettre de trouver ou sécuriser leur emploi tout au long de leur vie. 

C’est pour qui ?

Comme je le disais juste avant, chaque personne dispose d’un Compte Personnel de Formation. Il est possible de le consulter via www.moncompteformation.gouv.fr

Ce site te permet également :

  • d’accéder aux informations qui te concernent (par exemple : le crédit en euros enregistré sur son compte) ;
  • d’obtenir des informations sur les formations auxquelles tu peux recourir dans le cadre du Compte personnel de formation (les formations éligibles au Compte personnel de formation) ;
  • d’avoir un premier niveau d’information sur les financements de formation ;
  • d’avoir accès à des services numériques en lien avec l’orientation professionnelle comme le [service gratuit du conseiller en évolution professionnelle (CEP). En savoir plus sur mon-cep.org.

Comment ça marche ?
La règle de calcul veut qu’une personne en CDI à temps plein cumule 24 h de formation par an jusqu’à un total de 120 heures. 

Financer sa formation avec l’AIF

 

L’Aide Individuelle à la Formation est une aide de Pôle Emploi réservée aux demandeurs d’emploi pour financer les frais pédagogiques d’une formation.
Le montant de l’AIF doit être équivalent au coût de la formation sans pour autant dépasser les 8 000 euros. 
Pour en bénéficier il est nécessaire de contacter dans un premier temps notre équipe pour manifester ton souhait d’intégrer une formation ainsi que ton conseiller Pôle Emploi.

L’AIF ne finance pas : 

  • les frais d’inscription à la formation envisagée,
  • l’achat de matériel,
  • l’inscription à un examen ou un concours.

C’est pour qui ? 

  • Les demandeurs d’emploi
  • Les personnes en accompagnement CRP/CTP ou CSP

Financer sa formation grâce aux financements des régions

 

Tu pourras aussi trouver un soutien auprès des régions car elles peuvent aussi financer une partie de ta formation. 

Dans les Hauts-de-France

Dans les Hauts-de-France, le financement s’appelle le Chéque Pass Formation (CHPF). Cette aide t’accompagne en abondant ton CPF qui doit avoir au minimum 250€. L’aide peut atteindre jusqu’à 5000€. 

C’est pour qui ? 

Le CHPF est ouvert à toute personne âgée d’au moins 18 ans dès lors qu’elle :

  • est à la recherche d’un emploi,
  • et/ou occupe un emploi à temps partiel (moins de 24h/semaine),
  • et/ou occupe un emploi en contrat aidé,
  • et/ou est licenciée économique dans le cadre d’un contrat de sécurisation professionnelle (CSP),
  • et/ou bénévole d’association, uniquement pour les accompagnements à la Validation des Acquis de l’Expérience (VAE).

En Ile-de-France 

En Ile-de-France, le financement s’appelle l’AIRE (Aide Individuelle Régionale vers l’Emploi. Cette aide est un complément facilitant le retour, l’accès ou le maintien en emploi. Le montant de l’aide pouvant aller jusqu’à 1000 €.

Transition pro & le projet de transition professionnelle

Depuis le 1er janvier 2019, le projet de Transition Professionnelle remplace le CIF (Congé Individuel de Formation). Ce dispositif permet à un salarié de s’absenter de son poste pour suivre une formation certifiante pour changer de métier ou de profession. 
Si c’est ton cas, il faut monter un dossier de Transition Pro ce qui te permettra de présenter ton dossier à la Commission Paritaire Interrégionale (CPIR) et te faire financer une partie de votre formation.

Pour connaître les modalités d’envoi du dossier, les délais de dépôts et les conditions de la prise en charge financière, les salariés doivent contacter l’organisme Transitions Pro de leur région. En savoir plus.

C’est pour qui ? 

  • Les salariés, ( et tu restes salariés pendant ta formation !)

L’Agefiph
L’aide a pour objectif de permettre à une personne handicapée d’acquérir par la formation les compétences nécessaires pour un accès durable à l’emploi.

C’est pour qui ? 

Tout demandeur d’emploi handicapé :

  • Inscrit ou non à Pôle Emploi lorsque la durée de la formation est supérieure à 40 heures
  • Inscrit à Pôle emploi lorsque la durée de la formation est inférieure à 40 heures
  • L’accès aux formations individuelles rémunérées par l’Agefiph est privilégié pour les demandeurs d’emploi handicapés non indemnisés.

Elle est prescrite par ton conseiller Pôle emploi, Cap emploi ou Mission locale.

Son montant dépend des cofinancements prévus par les dispositifs de droit commun.

Les labelisations recherchées par POP School

POP School fait labelliser un maximum de ses formations par l’État (La Grande École du Numérique), la région École Régionale du Numérique pour les Hauts-de-France et Paris Code pour la ville de Paris.

Ces labellisations permettent de financer une partie du prix de la formation pour les publics éloignés de l’emploi.

C’est pour qui ? 

  • Les demandeurs d’emploi
  • Les personnes ayant un niveau BAC et infra-Bac
  • Les habitants des Quartiers Politiques de la Ville 
  • Les femmes

L’autofinancement

Enfin, le dernier mode de financement de nos formations est l’autofinancement. C’est à dire que c’est toi qui finance. Attention, POP School t’accompagne un maximum dans ta recherche de financement, pour que tu puisses financer de ta poche au minimum ta formation. 

Il n’y a plus qu’à ! 

Tu connais maintenant l’ensemble des dispositifs de cette Jungle. Mais pas d’inquiétude, nos chefs de fabrique l’accompagnent dans chaque étape de ton dossier d’inscription et notamment ta recherche de financement. 

Si tu souhaites échanger dès maintenant avec notre équipe, réserve un crénaux avec le chef de fabrique sur laquelle ta formation se déroule. (calendrier des C2F). 

Retrouve les dossiers de nos formations sur la page « Inscription » !

 

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Les enfants apprennent à coder en s’amusant

POP School se diversifie et opte pour des ateliers ludiques adaptés à des élèves de l’école élémentaire de Lucie Aubrac de Croix (59). Mardi 9 mai, ils ont pu donner des instructions à un mBot (robot éducatif), pour eux, c’était un premier pas dans le domaine informatique.

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